« L'humour est une forme de révolte. C'est aussi un remède à la colère, à l'emportement ou à la déprime ; il humanise les rapports, facilite l'irrigation du cerveau, décontracte les nerfs... »
« L'ignorance c'est le nerf de la guerre. »
« C'est drôle, les hommes. Ça vous tape sur les nerfs ou ça veut vous priver de vous énerver. »
« Nerfs : ficelles... Terriblement exploitées par les médecins. »
« L'argent est le nerf de la guerre. »
« Je suis assez susceptible d'être effrayé par une chose inattendue qui agit sur mes nerfs. Mais dès que j'ai un quart d'heure de réflexion, je deviens, sur le danger, d'une indifférence complète. »
« Le nerf de la guerre, le principe de la liberté dans un état bourgeois : l'argent. »
« Aime tes ennemis. C'est le meilleur moyen de leur porter sur les nerfs. »
« Les gens de lettres, les penseurs, les artistes, en un mot tous les hommes dont les nerfs et le cerveau reçoivent beaucoup d'impressions ou combinent beaucoup d'idées, sont très sujets à des pertes nocturnes très énervantes pour eux. »
« Argent : C'est le nerf de la guerre, ainsi que des amours. »
« Pour une femme qui n'est ni hollandaise, ni anglaise, ni belge, ni d'aucun pays marécageux, l'amour est un prétexte à la souffrance, un emploi des forces surabondantes de son imagination et de ses nerfs. »
« Excédée par toutes ces intempéries, une fleur m'a dit ce matin en avoir les nerfs à fleur de pot. »
« Les nerfs, c'est un peu du genre ficelle : ils résistent tant que tu tires sur eux modérément. Après... Ils cassent. »
« Le nerf de la guerre, c'est l'argent. »