« Qui veut élever en un instant une flamme puissante commence par l'allumer avec de faibles brins de paille. »
« Un bonheur que rien n'a entamé succombe à la moindre atteinte ; mais quand on doit se battre contre les difficultés incessantes, on s'aguerrit dans l'épreuve, on résiste à n'importe quels maux, et même si l'on trébuche, on lutte encore à genoux. »
« La guerre est un fruit de la dépravation des hommes ; c'est une maladie convulsive et violente du corps politique ; il n'est en santé, c'est-à-dire dans son état naturel, que lorsqu'il jouit de la paix. »
« Je connais un homme qui a arrêté de fumer, de boire, de faire l'amour, et de faire ripaille. Il était en bonne santé jusqu'à ce qu'il se suicide. »
« Il est prouvé que fêter les anniversaires est bon pour la santé. Les statistiques montrent que les personnes qui en fêtent le plus deviennent les plus vieilles. »
« Une passion naissante et combattue éclate ; un amour satisfait sait se cacher. »
« Bonne épouse et santé sont les meilleures richesses d'un homme. »
« Une certaine légèreté demande plus d'efforts que la pesanteur, les leçons de morale, la gravité, l'ennui qui s'en dégage. Mais elle est liée aussi à une certaine grâce, au charme, au plaisir. »
« N'attends pas que les événements arrivent comme tu le souhaites. Décide de vouloir ce qui arrive... Et tu seras heureux. »
« L'action du théâtre comme celle de la peste est bienfaisante, car poussant les hommes à se voir tels qu'ils sont, elle fait tomber le masque, elle découvre le mensonge, la veulerie, la bassesse, la tartufferie. »
« La douleur morale est plus cuisante que la douleur physique ; l'ennui, la séparation, sont des maux capables de causer les pires ravages, même chez les personnes les plus plus fortes. »
« La santé est le trésor le plus précieux et le plus facile à perdre ; c'est cependant le plus mal gardé. »
« Il faut toujours prier comme si l'action était inutile et agir comme si la prière était insuffisante. »
« Plaisante justice qu' une rivière borne. Vérité en deçà des Pyrénées, erreur au delà. »