« C'est une erreur de la méchanceté humaine de louer toujours le passé et de dédaigner le présent. »
« ... C'est insulter les autres que de paraître dédaigner leurs joies. »
« Il est très doux de scandaliser : il existe là un petit triomphe pour l'orgueil qui n'est nullement à dédaigner. »
« L'offensé voulait prouver à l'agresseur, par cette vengeance si noble, qu'au talent de faire des satires. Il joignait le mérite d'en dédaigner l'usage. »
« Dédaigner l'argent, c'est faire preuve de désintéressement, surtout quand il s'agit de celui qu'on doit. »
« Il est dans la nature des femmes de dédaigner qui les aime et d'aimer qui les dédaigne. »
« Nous n'avons pas assez d'amour-propre pour dédaigner le mépris d'autrui. »
« De là cette foule d'érudits profonds dans les langues savantes jusqu'à dédaigner la leur, qui, comme l'a dit un auteur célèbre, connaissaient tout dans les anciens hors la grâce et la finesse. »
« C'est une des choses les plus difficiles et les plus nécessaires de la vie que d'apprendre à dédaigner. Le dédain protège et écrase. C'est une cuirasse et une massue. »
« Gardez-vous de rien dédaigner ; surtout quand vous avez à peu près votre compte. »
« L'avantage d'être quelqu'un est plus rare que celui d'oeuvrer. Produire est facile; ce qui est difficile, c'est dédaigner de faire usage de ses dons. »
« ... C'est une maladie particulière, et qui ne se voit en aucune autre créature, de se haïr et dédaigner. »