« Le chic parisien est plus étroit que la convention de la vie de province. »
« Publier un dessin dans un journal, c'est comme monter sur scène. »
« En France, ce que pense la province importe autant que ce que pensent mes jambes. »
« Ne disons pas de mal des gens de la province. Sans eux, nous ne pourrions pas habiter Paris. »
« Les rêves sont toujours des départs. »
« On rêve d'un idéal, on le prie, on l'appelle, on le guette, et puis le jour où il se dessine, on découvre la peur de le vivre, celle de ne pas être à la hauteur de ses propres rêves, celle encore de les marier à une réalité dont on devient responsable. »
« Si on veut connaître le baromètre de la liberté d'expression d'un pays, il ne faut pas aller voir le premier ministre, mais le dessinateur de presse. »
« Je ne suis ni dessinateur ni peintre ; mes dessins sont de l'écriture dénouée et renouée autrement. »
« Il existe deux sortes de combattants. Ceux qui conçoivent des stratégies et ceux qui ne sont jamais départis de la tendance enfantine à briser des objets. »
« Je n'ai jamais assisté à des courses de spermatozoïdes mais j'ai donné beaucoup de départs ! »
« Aucune parole ne précède les vrais départs. »
« Je voulais dessiner la conscience d'exister et l'écoulement du temps. »
« Les humains sont le résultat d'un chemin évolutif d'une exquise complexité, plein de faux départs, d'impasses et d'accidents statistiques. »
« Il faut s'endurcir, sans jamais se départir de sa tendresse. »