« L'argent est un bon valet et un mauvais maître. »
« Si vous voulez vraiment connaître un homme, regardez ses réactions quand il perd de l'argent. »
« Ne faites jamais un bon mot qui puisse vous faire perdre un ami, à moins que le mot ne soit meilleur que l'ami. »
« Ne faites pas la porte plus grande que la maison. »
« Il faut courber le rameau quand il est jeune. »
« Ce n'est pas au bas du mur qu'on connaît le maçon ; c'est tout en haut. »
« Le Français est un paresseux qui travaille beaucoup. L'Anglais un paresseux qui ne fait rien. L'Allemand un travailleur qui se donne du mal. L'Américain, un travailleur qui sait s'arranger pour ne pas faire grand chose. »
« Evitez ceux qui parlent de leur honnêteté ; ils vous roulent. Traitez avec celui qui se vante d'avoir roulé autrui ; c'est qu'il n'en a pas l'habitude. »
« On est sûr qu'une maison marche bien du jour où chacun de ceux qui y sont employés raconte à ses amis que c'est lui qui la fait marcher. »
« On appelle cahier des charges un volume destiné à définir une commande, dans lequel tout est prévu, sauf la bonne foi du vendeur. »
« L'Anglais est un praticien qui n'a pas de théories ; l'Allemand, un théoricien qui applique ses théories ; le Français, un théoricien qui ne les applique pas : c'est ce qu'on appelle chez nous avoir du bon sens. »
« Il est heureux que la proportion de gens intelligents soit faible ; si tous l'étaient, rien ne serait possible. »
« Un bel enterrement n'est pas une improvisation. Il faut y consacrer sa vie. »
« Il n'y a que d'immortels principes, puisque, du jour où un principe meurt, on s'aperçoit que ce n'était qu'un paradoxe. »