« Dire des idioties, de nos jours où tout le monde réfléchit profondément, c'est le seul moyen de prouver qu'on a une pensée libre et indépendante. »
« L'indépendance du gouvernement et les droits politiques font les peuples; la langue et l'origine commune font les nations. »
« C'est l'homme tout entier qui est conditionné au comportement productif par l'organisation du travail, et hors de l'usine il garde la même peau et la même tête. Dépersonnalisé au travail, il demeurera dépersonnalisé chez lui. »
« Chaque jour je t'aime davantage, aujourd'hui plus qu'hier et bien moins que demain. »
« Ce n'est pas que je sache bien employer mon temps, mais c'est que je sais bien le perdre; et, soit dit sans me vanter, c'est peut-être la première de toutes les sciences. »
« Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille, - Lorsque mes cheveux blonds seront des cheveux blancs - Au mois de mai, dans le jardin qui s'ensoleille - Nous irons réchauffer nos vieux membres tremblants. »
« Je n'ai plus besoin de plaire à personne, puisque personne n'a plus besoin de moi. »
« Pour avoir l'air d'un Chinois en Chine, il ne faut jamais rougir. »
« Le but de la société humaine doit être le progrès des hommes, non celui des choses. »
« Ce n'est point le perfectionnement des machines qui est la vraie calamité ; c'est le partage injuste que nous faisons de leur produit. »
« Les miracles, cela arrive, ou presque. »
« Il y a plus d'intimité, plus de correspondance de l'âme dans ce qu'une lettre fait penser que dans ce qu'elle dit. »
« Lorsque tu seras vieux et que je serai vieille, lorsque mes cheveux blonds seront des cheveux blancs. »
« Vécue, la souffrance n'en est pas pour autant reconnue. »