« Ce que les cours de nos écoles négligent presque totalement est ce qui intéresse le plus : la question de la vie. »
« J'aime les porcs. Les chiens nous regardent avec vénération. Les chats nous toisent avec dédain. Les cochons nous considèrent comme des égaux. »
« On ne bâtit pas sa maison avec des dictionnaires. »
« Temps : ce que les hommes essayent toujours de tuer, mais qui finit par les tuer. »
« La mort et la douleur seront nos compagnons de voyage, les privations notre vêtement, la constance et la vaillance notre seul bouclier. »
« Après la guerre, deux choix s'offraient à moi: finir ma vie comme député, ou la finir comme alcoolique. Je remercie Dieu d'avoir si bien guidé mon choix: je ne suis plus député! »
« Le mariage est une cérémonie où un anneau est passé au doigt de l'épouse et un autre au nez de l'époux. »
« Le chien lève vers vous des yeux implorants, le chat vous regarde de haut. Mais parlez-moi du cochon! Le cochon, lui, vous regarde droit dans les yeux, d'égal à égal. »
« Nous pourrions lui donner le ministère de la guerre et nous serions sûrs de l'éviter: pendant la guerre, il était ministre du charbon et nous n'avons jamais eu de charbon. »
« C'est le propre de la jeunesse de couper les liens, d'ouvrir des chemins nouveaux, de rêver de liberté. »
« L'action libère, l'action vivifie, l'action récompense. »
« Pour jouir vraiment d'un amour, il faut l'édifier de ses peines, lui avoir sacrifié bien des plaisirs, il faut l'avoir lavé de ses larmes. Alors il a infiniment de prix. »
« La critique peut être désagréable, mais elle est nécessaire. Elle est comme la douleur pour le corps humain: elle attire l'attention sur ce qui ne va pas. »
« On désire férocement la liberté, mais c'est presque toujours pour aller vers d'autres contraintes. »