« Il est trop tard pour délibérer quand l'ennemi est aux portes. »
« La vision trop subtile use les yeux de l'homme. L'ouïe trop fine use les oreilles de l'homme. L'ambition démesurée use l'esprit de l'homme. »
« Je n'écris pas pour laisser quelque chose derrière moi, mais pour soulager ma souffrance. »
« Si l'on veut vivre d'une vie humaine extérieure et retentissante, il ne faut ouvrir que quelques fenêtres de son cerveau, et laisser fermées les autres. »
« Dieu est-il le rêve de l'humanité ? Ce serait trop beau. L'humanité est-elle le rêve de Dieu ? Ce serait abominable. »
« L'homme qui est pessimiste à 45 ans en sait trop, celui qui est optimiste après n'en sait pas assez. »
« Une idée c'est comme un pain au chocolat. Il faut la laisser refroidir pour voir si elle est vraiment bonne. »
« Il faut écrire le plus possible comme on parle et ne pas trop parler comme on écrit. »
« Le progrès : trop robot pour être vrai. »
« Voulez-vous nuire à quelqu'un ? N'en dites pas de mal, dites-en trop de bien. »
« Ceux qui me voient se fient rarement à ma parole : je dois avoir l'air trop intelligent pour la tenir. »
« En politique, la sagesse est de ne point répondre aux questions. L'art, de ne pas se les laisser poser. »
« Pas question de rêver, de laisser mûrir une idée : pendant qu'on la laisse mûrir d'autres la vendent verte. »
« Préfet. Un uniforme qui a trop tendance à se changer en livrée. »