« L'amour, tout comme la mort, est une étape du voyage où on arrive tous, un jour ou l'autre. »
« L'oppression de sexe traverse les classes sociales. »
« Les pires souffrances finissent toujours par se diluer dans l'océan du temps. Et les amours mortes ont un léger parfum de ridicule qui n'arrange rien. »
« Rien ne vaut la puissance de l'entraînement. »
« L'écriture : cet éternel dilemme entre la vie et la mort, cette ambiguïté qui rejoint les gens dans leur instabilité la plus secrète. »
« Aujourd'hui, on prend un parapluie parce que la télé a dit qu'il allait pleuvoir. Autrefois, on aurait regardé le ciel. »
« Dans une famille on est tous tributaire les uns des autres. Le malheur de l'un fait le malheur de tous. »
« Ecrire est le dernier des métiers manuels... »
« La poésie, puisée en elle-même, n'est rien d'autre qu'un moyen d'expression et de désenvoûtement de la réalité. »
« Les cicatrices psychiques laissées par le simple fait de se croire laide marquent à jamais la personnalité. »
« Un chercheur est celui qui risque sa vérité et qui se casse la figure. »
« Pourquoi l'amour ? L'amitié n'apporte-t-elle pas autant, sans en avoir les innombrables défauts. »
« Le chaos est rempli d'espoir parce qu'il annonce une renaissance. »
« Hélas! j'aurai passé près d'elle inaperçu, - Toujours à ses côtés, et pourtant solitaire, - Et j'aurai jusqu'au bout fait mon temps sur la terre, - N'osant rien demander et n'ayant rien reçu. »