« A notre époque moderne, on reconnait les gens faibles, lorsqu'ils écrivent tout ce qu'ils sont sur leur carte de visite. »
« Le meilleur moyen de ne pas être dérangé au téléphone, c'est d'être en dérangement. »
« Maintenant, quand on rentre dans une chambre d'enfants, c'est plus une chambre d'enfants, c'est un magasin de jouets. »
« "Trèfle" de plaisanterie, comme dirait un lapin dans un carré de luzerne... »
« Quand on va se baigner, on a chacun droit à son mètre carré. Quelqu'un voudrait se noyer, qu'il pourrait pas. »
« Quand je vois ce que je vois et que j'entends ce que j'entends, je suis bien content de penser ce que je pense. »
« Au milieu d'une salle qui éclate de rire, je ne vois que le spectateur qui ne rit pas. »
« Y'en a qui tiennent le haut du pavé, moi je tiens le bas du fossé... »
« La justice, ça se rend, ça ne se vole pas. »
« L'amour est un besoin si exclusif que, pour se satisfaire, il sacrifie même l'égoïsme. La preuve, c'est que, sitôt ce besoin passé, l'égoïsme reprend son empire. »
« On ne doit pas plus exhiber sa culture que ses biceps. Il faut qu'elle saille sous la phrase comme les muscles sous le vêtement. »
« La mort est peut-être la seule réalité qui a une signification quand on sort du cauchemar de la vie... »
« Et s'il n'y avait jamais d'accidents dans notre vie ? Si tout, absolument tout, avait une signification ? Si le hasard n'était qu'une illusion ? »
« Selon les latitudes, la haine de l'étranger change de nom. En Europe, elle s'appelle patriotisme, en Chine xénophobie. »