« Moi, j'ai un zizi, et Papa, il a beaucoup de zizi. »
« Il est tombé pour nous le rideau merveilleux - Où du vrai monde erraient les fausses apparences, - La science a vaincu l'imposture des yeux, - L'homme a répudié les vaines espérances. »
« Toute jeunesse vient des morts: - C'est dans une funèbre pâte - Que, toujours, sans lenteur ni hâte, - Une main pétrit les beaux corps - Tandis qu'une autre main les gâte. »
« Nul ne peut se vanter de se passer des hommes. »
« Il n'est pas plus surprenant de vivre deux fois qu'une. »
« Regarde dans l'eau, il y a une grenouille sur un mini-phare. »
« Nous aimons la morale quand nous sommes vieux, parce qu'elle nous fait mérite d'une foule de privations qui nous sont devenues une nécessité. »
« Papa, j'ai été à la ferme, j'ai vu des cochons, ils faisaient le même bruit que toi quand tu dors. »
« Ils tombent épuisés, la bataille était rude. - Près d'un fleuve, au hasard sur le dos, sur le flanc, - Ils gisent, engourdis par tant de lassitude - Qu'ils sont bien, dans la boue et dans leur propre sang. »
« Je suis le captif des mille êtres que j'aime. »
« Il fait chaud,touche, mon dos est tout timide. »
« La vie est un tourbillon dont les lignes s'agrandissent toujours. »
« Le noir sied à son front poli. - Et par ce front le chagrin même - Est embelli. »
« Regarde la grosse peine mécanique. »