« L'absence unit et désunit, elle rapproche aussi bien qu'elle divise, elle relâche certains liens très solides, elle les tend et les éprouve au point de les briser. »
« C'est peut-être au dehors que l'on guette, mais c'est toujours au fond de soi que l'on attend. »
« Si vous aimez vos amis, n'en faites pas vos amis, vous les condamneriez à aimer votre femme ! »
« Avec les femmes, il faut se mettre à plusieurs pour en tenir une ! Elles sont si promptes à s'échapper... »
« Chasse la nature à coups de fourche, elle reviendra toujours au pas de course. »
« L'amant ? On le case là, entre la nuit et le jour, entre le lit et la cour, entre le mari et l'amour... C'est le passager clandestin, d'une vie sans destin. »
« Il emporte tous les suffrages, celui qui mêle l'utile à l'agréable. »
« Comme la nuit paraît longue à la douleur qui s'éveille. »
« Quand tu veux te laver, prépare d'abord la serviette pour t'essuyer. »
« Chassez le naturel avec une fourche, il reviendra toujours en courant. »
« Aimer... Quel égoïsme ! Ce n'est ni plus ni moins qu'une façon de se faire plaisir en s'occupant de quelqu'un d'autre. »
« Les peintres et les poètes ont toujours eu le droit de tout oser. »
« Les mêmes mots, dans une bouche nouvelle, prennent un accent de vérité qu'ils avaient perdu... »
« En politique comme ailleurs, y compris en amour, le succès est à ceux qui savent jouer, sur la scène publique, des rôles de composition et connaissent les lois de l'éloquence. »