« Achetez la presse, et vous serez maîtres de l'opinion, c'est-à-dire les maîtres du pays. »
« En dehors du français, il y a une seule langue nationale que la Constitution tolère : la langue de bois ! »
« Je suis en train de peindre avec l'entrain d'un Marseillais mangeant la bouillabaisse, ce qui ne t'étonnera pas lorsqu'il s'agit de peindre de grands tournesols. »
« Il faut écouter beaucoup et parler peu pour bien agir au gouvernement d'un Etat. »
« A force de lire, j'ai des livres de poche sous les yeux ! »
« Cette vie artistique, que nous savons ne pas être la vraie, me paraît si vivante et ce serait ingrat que de ne pas s'en contenter. »
« La souffrance ne se partage pas, encore moins l'oubli que, par ténacité, on trouve parfois dedans. »
« Si votre fils n'a pas d'enfant, il scie la branche de l'arbre généalogique sur laquelle vous l'avez assis. »
« Réaliser des esquisses revient à planter des graines pour faire pousser des tableaux. »
« Quand on n'a pas l'habitude de voyager on pense toujours qu'ailleurs c'est la fantaisie qui prime. »
« Investissez Dieu dans vos affaires et vous allez voir votre potentiel atteindre son maximum dans notre société divinement capitaliste. »
« La mort n'a qu'un instant, et la vie en a mille. »
« J'ai compris que, même pauvre et nécessiteux aux regards du monde, on peut s'enrichir en Dieu et que ce trésor-là, nul ne peut vous l'enlever. »
« Avant, l'argent coulait à flot, maintenant j'éponge mes dettes. »