« Comptez l'argent pour rien, les places pour rien, la popularité pour rien; c'est la presse qui est tout. Achetez la presse, et vous serez maîtres de l'opinion, c'est-à-dire les maîtres du pays. »
« Il n'y a que la gloire qui dispense de la politesse. »
« Quand on a des opinions courantes, on les laisse courir. »
« Si le tact était à vendre, il n'y a que ceux qui en ont qui en achèteraient. »
« Les grands hommes sont comme les plus belles fleurs. Ils croissent sous le fumier et à travers le fumier que jettent sur eux les envieux et les imbéciles. »
« L'idéal économique des bourgeois est d'augmenter indéfiniment le nombre des consommateurs. »
« Avant de choisir le prénom d'un garçon pensez à la femme qui aura à le murmurer plus tard. »
« Le talent éclôt sur la cendre d'une longue patience. »
« L'égalité, cette chimère des vilains, n'existe vraiment qu'entre nobles. »
« Les passions font moins de mal que l'ennui, car les passions tendent toujours à diminuer tandis que l'ennui tend toujours à s'accroître. »
« Les femmes s'attachent comme des draperies, avec des clous et un marteau. »
« C'est un défaut courant des hommes : penser qu'avec un peu d'argent ils obtiendront toujours ce qu'ils voudront. »
« Un homme n'en chasse pas un autre. Les histoires d'amour ne s'annulent pas. Elles s'additionnent. Les chagrins d'amour aussi. »
« Les crimes de l'extrême civilisation sont certainement plus atroces que ceux de l'extrême barbarie. »