« Quand on a des opinions courantes, on les laisse courir. »
« Si le tact était à vendre, il n'y a que ceux qui en ont qui en achèteraient. »
« Quand tout le monde veut la même chose, c'est qu'il y a une raison. »
« Fini le temps où nous voulions un peu plus de tout. C'est une diminution que nous voulons maintenant. De moins en moins de choses. »
« Ce que nous voulons vraiment : c'est racheter le temps. »
« Les grands hommes sont comme les plus belles fleurs. Ils croissent sous le fumier et à travers le fumier que jettent sur eux les envieux et les imbéciles. »
« L'idéal économique des bourgeois est d'augmenter indéfiniment le nombre des consommateurs. »
« Avant de choisir le prénom d'un garçon pensez à la femme qui aura à le murmurer plus tard. »
« L'égalité, cette chimère des vilains, n'existe vraiment qu'entre nobles. »
« Les passions font moins de mal que l'ennui, car les passions tendent toujours à diminuer tandis que l'ennui tend toujours à s'accroître. »
« Les femmes s'attachent comme des draperies, avec des clous et un marteau. »
« C'est un défaut courant des hommes : penser qu'avec un peu d'argent ils obtiendront toujours ce qu'ils voudront. »
« Un homme n'en chasse pas un autre. Les histoires d'amour ne s'annulent pas. Elles s'additionnent. Les chagrins d'amour aussi. »
« Les crimes de l'extrême civilisation sont certainement plus atroces que ceux de l'extrême barbarie. »