« Je ne peux malheureusement acheter que ce qui est à vendre, sinon il y a longtemps que je me serais payé un peu de bonheur. »
« Il y a davantage de riches au royaume des cieux que de beurre dans ces choses spongieuses baptisées "sandwiches" vendues dans les gares. »
« L'âme, ce par quoi nous échappons à toutes les définitions. »
« Une affaire superbe : achetez toutes les consciences au prix qu'elles valent et revendez-les pour ce qu'elles s'estiment. »
« Pour le gros lot de cinq cent mille francs, pourquoi vendre tant de billets, puisqu'il n'y en a qu'un seul qui gagne ? »
« Les âmes sont ainsi. Elles se vendraient pour posséder un corps mais n'ont rien de plus urgent à faire que de quitter à la moindre défaillance celui qui leur a donné asile et nourriture. »
« Il y a celles qui vous disent qu'elles ne sont pas à vendre, et qui n'accepteraient pas un centime de vous ! Ce sont généralement celles-là qui vous ruinent. »
« Vous revendez trois mille francs ce que vous avez eu pour cinq cents, et vous dites, très tranquille : "c'est une affaire". Mais non ! c'est un vol. »
« N'importe quel imbécile peut peindre un tableau, mais il faut être malin pour le vendre. »
« De nos jours la compétence ne suffit pas, le génie encore bien moins ; il faut se vendre. »
« Le commerce est l'art d'acheter trois francs ce qui en vaut six et de vendre six francs ce qui en vaut trois. »
« Si on avait assez de fonds pour acheter toutes les consciences ce qu'elles valent et les revendre ce qu'elles s'estiment, ça serait une belle affaire. »
« Je voudrais travailler dans un magasin de rêve où l'on ne vendrait que des choses imaginaires. »
« Ne vendons notre âme que pour le Paradis. »