« C'est là le paradoxe suprême de la pensée que de vouloir découvrir quelque chose qu'elle-même ne puisse penser. »
« La suprême récompense du travail n'est pas ce qu'il vous permet de gagner, mais ce qu'il vous permet de devenir. »
« La sagesse suprême est d'avoir des rêves assez grands pour ne pas les perdre du regard tandis qu'on les poursuit. »
« Le monde tout entier aspire à la liberté, et pourtant chaque créature est amoureuse de ses chaînes. Tel est le premier paradoxe et le noeud inextricable de notre nature. »
« La Nature, trésor inépuisable des couleurs et des sons, des formes et des rythmes, modèle inégalé de développement total et de variation perpétuelle, la Nature est la suprême ressource ! »
« Pour tout français, la retraite est le but suprême de l'existence. C'est avec joie qu'il envisage sa vie de vieillard. Mastiquer avec une mâchoire édentée semble être le comble de ses délices. »
« Le paradoxe de la condition humaine, c'est qu'on ne peut devenir soi-même que sous l'influence des autres. »
« Le goût est la qualité fondamentale qui résume toutes les autres qualités. C'est le nec plus ultra de l'intelligence. Ce n'est que par lui seul que le génie est la santé suprême et l'équilibre de toutes les facultés. »
« Ce qui s'impose à présent, c'est l'union et la confraternité face à ce monde violent, en un suprême effort de volonté pour tenter de récupérer le sens de la dignité humaine au travers de la fraternelle entente entre tous les peuples. »
« La suprême bassesse de la flatterie, c'est d'encourager l'ingratitude. »
« Pourquoi le sexe occupe t-il tant notre esprit ? Parce qu'il est l'échappatoire suprême. C'est la voie ultime vers l'oublie de soi absolu. »
« Si la famine vient, la suprême loi c'est le salut du peuple. »
« L'amour n'est pas l'amour, quand il s'y mêle des considérations étrangères à son objet suprême. »
« Le but suprême du romancier est de nous rendre sensible l'âme humaine, de nous la faire connaître et aimer dans sa grandeur comme dans sa misère, dans ses victoires et dans ses défaites. Admiration et pitié, telle est la devise du roman. »