« Un chemin se reconnaît au fait que l'autre passant devient notre semblable et qu'il nous paraîtrait inconvenant de ne pas le saluer. »
« Les femmes sont comme les chats qui retombent toujours sur leurs pattes. »
« Je suis trop sceptique pour être incrédule. »
« Deux angoisses de l'écriture : ne plus rien avoir à dire, n'avoir jamais fini de dire. »
« La paresse est le commencement de la misère. »
« Tendre mère ! Vous ne m'abandonnez pas, même en rêve. »
« Le produit de la vigne est vin. Le vin nouveau est un enfant bruyant et potelé. Il chemine vers une adolescence vigoureuse, puis vers une maturité solide. Et avant de mourir, il connaît une vieillesse opulente et majestueuse. »
« Il n'y a pour la femme trompée de torture pire que l'idée du bonheur profond de sa rivale. »
« Si le sentiment religieux est une folie, parce que la preuve n'est pas à côté, l'amour est une folie, l'enthousiasme un délire, la sympathie une faiblesse, le dévouement un acte insensé. »
« De quatre choses nous avons plus que nous croyons: des péchés, des dettes, des ennemis et des années. »
« Nous sommes des créatures tellement mobiles que les sentiments que nous feignons, nous finissons par les éprouver. »
« Il ne faut pas feindre d'exprimer ce que nous ne pouvons pas exprimer. »
« L'ignorance s'accompagne de fanatisme et suscite le fanatisme. »
« L'unique garantie des citoyens contre l'arbitraire, c'est la publicité. »