« Les hommes sont faits les uns pour les autres ; instruis-les donc ou supporte-les. »
« Les hommes sont comme les chiens, ils viennent quand on les appelle. Les femmes sont comme les chats, il suffit de les appeler pour qu'elles s'en aillent. »
« J'admire et méprise les hommes pour tout ce qu'ils sont capables d'endurer. »
« Ordinairement, un homme qui ne parle pas ne pense pas. Je parle de celui qui n'a pas de raisons pour ne pas parler. Chacun est bien aise de mettre au jour ce qu'il croit avoir bien pensé; les hommes sont faits comme cela. »
« Presque tous les hommes sont médiocres et superficiels pour le mal comme pour le bien. »
« C'est d'un grand profit pour la nature humaine que les hommes de vertu ne sachent point dire pourquoi ils sont vertueux. »
« Les hommes n'ayant pu guérir la mort, la misère, l'ignorance, ils se sont avisés, pour se rendre heureux, de n'y point penser. »
« Autant que je sais, nul n'est bon juge, ni pour les romans, ni pour la peinture, ni pour aucun genre d'oeuvres. Mais, pris ensemble, les hommes sont de bons juges. »
« Les hommes sont faits les uns pour les autres. Donc instruis-les ou supporte-les. »
« Il faut peu de choses pour rendre le sage heureux; rien ne peut rendre un fol content; c'est pourquoi presque tous les hommes sont misérables. »
« Pourvu que le législateur se charge lui-même d'enlever aux hommes leur indépendance, ils sont à peu près contents. »
« Les hommes sont comme les pommes: quand on les entasse, ils pourrissent. »
« Ne pourrait-on même soutenir que c'est parce que les hommes sont inégaux qu'ils ont d'autant plus besoin d'être frères? »
« Désir. C'est que les hommes traînent en venant au monde et remportent en mourant. C'est pourquoi ils ne sont jamais contents. »