« La liberté est dans le geste : écrire. Emprisonnés même, on peut encore écrire sur les murs, faire signe de liberté. »
« Il y a des êtres qui deviennent si proches de nous qu'on les dirait intégrés à nous-mêmes. En épousant leurs sentiments les plus intimes, en scrutant le mystère de leur âme, nous assimilons une part de leur être. »
« Ah ! Que le monde est donc mal fait, et pourquoi faut-il que certains êtres finalement deviennent cibles pour avoir été trop points de mire ! »
« Celui qui vit loin des hommes ressemble aux raisins mûrs. Et celui qui vit avec eux ressemble aux raisins verts. »
« Toutes les femmes deviennent comme leur mère. Tel est leur drame. Les hommes ne le deviennent jamais. Tel est le leur. »
« Marx disait que les idées deviennent forces quand les masses s'en emparent. Où sont nos idées, où sont les masses, où sont nos forces ? »
« Que les gens ne montrent pas trop d'assurance dans leurs jugements, comme celui qui, dans un champ, estime les blés avant qu'ils ne soient mûrs. »
« Dieu nous donne des mains, mais il ne bâtit pas les ponts. »
« Le clonage véritable n'est pas dans les éprouvettes mais sur nos murs, dans nos magasins et sur nos journaux ! »
« Certains ne deviennent jamais fous... Leurs vies doivent être bien ennuyeuses. »
« Il va falloir rêver car, pour que les choses deviennent possibles, il faut d'abord les rêver. »
« Les gens qui s'assoient sur les habitudes et leur confort deviennent artificiels, vaniteux et prétentieux. Ils ne sont, en réalité, que les fantômes de leur propre existence. »
« Les frontières entre information et divertissement deviennent de plus en plus floues non seulement pour les téléspectateurs mais aussi pour les professionnelles. »
« Les hommes politiques deviennent automatiquement pessimistes le jour où le jeu de bascule les éloigne du pouvoir. »