« Les tourterelles se fuyaient: - Plus d'amour, partant plus de joie. »
« Et sur elle courbé, l'ardent Imperator, - Vit dans ses larges yeux étoilés de points d'or - Toute une mer immense où fuyaient des galères. »
« Ses beaux seins effarés, au tic tac de son cœur, - Tremblaient et palpitaient, comme deux tourterelles - Surprises dans le nid, qui font un grand bruit d'ailes - Entre les doigts de l'oiseleur. »
« Plaignons les tourterelles qui ne baisent qu'au printemps ! »
« Hier encore, je marchais au hasard sur la terre, et des milliers de chemins fuyaient sous mes pas, car ils appartenaient à d'autres... Aujourd'hui, il n'y en a plus qu'un, et Dieu sait où il mène: mais c'est mon chemin. »