« J'ai toujours été frappé par le comportement d'ivrogne des enfants en bas âge : ils bégaient, titubent, trébuchent, passent sans transition du rire aux larmes et réciproquement. Qu'est-ce que ce serait si, en plus, ils buvaient de l'alcool ! »
« La littérature ne permet pas de marcher, mais elle permet de respirer. »
« Ce que le public réclame, c'est l'image de la passion, non la passion elle-même. »
« Accroche un sourire à ton visage, ça lui donne du charme. »
« La politesse vaut mieux que la sincérité, car la politesse fait toujours confiance à l'intelligence d'autrui. »
« A force d'entendre parler de moi, je meurs d'envie de me connaître. »
« Le bonheur s'alimente volontiers de malentendus. »
« JE T'AIME est sans nuances. Il supprime les explications, les aménagements, les degrés, les scrupules. »
« Parler, et à plus forte raison discourir, ce n'est pas communiquer... C'est assujettir. »
« Je revendique le droit à l'ignorance. »
« La violence sucrée de l'imaginaire console tant bien que mal de la violence amère du réel. »
« Organiser d'urgence les jeux olympiques des dopés, toutes drogues confondues étant admises, du moment que les records tombent. Succès garanti. »
« Ce que la photographie reproduit à l'infini n'a lieu qu'une fois. »
« L'acte le plus artistique d'un artiste : choisir son public. »