« Il faut aimer Dieu de tout son cœur, et son prochain comme soi-même. »
« On va toujours, en fin de compte, vers où l'on pèse. »
« Chez les peuples vraiment libres, les femmes sont libres et adorées. »
« Tout le monde veut gouverner, personne ne veut être citoyen. Où est donc la cité ? »
« On n'est jamais content là où on est. »
« Sachez-le donc : Dieu hait la paix de ceux qu'il a destiné à la guerre ! »
« Il y a trois manières pour apprendre une chose : la meilleure manière est de la professer... »
« Etrange l'homme sans rivage, près de la femme, riveraine. »
« Qu'est-ce qu'une scène de ménage ? C'est le triomphe de la femme. »
« Il faut autour de soi, pour exister, des réalités qui durent. »
« J'ai toujours aimé le désert. On s'assoit sur une dune de sable. On ne voit rien. On n'entend rien. Et cependant quelque chose rayonne en silence... »
« Chaque fois qu'il y a un changement de support, il y a un Socrate qui engueule un Platon. »
« Osez ! Ce mot renferme toute la politique de notre révolution. »
« Et nos poèmes encore s'en iront sur la route des hommes, portant semence et fruit dans la lignée des hommes d'un autre âge. »