« C'est par le travail que l'homme se transforme. »
« Ouvre si tu peux sans pleurer ton vieux carnet d'adresses. »
« Le roman, c'est la clef des chambres interdites de notre maison. »
« Tes yeux sont si profonds qu'en me penchant pour boire - J'ai vu tous les soleils y venir se mirer - S'y jeter à mourir tous les désespérés - Tes yeux sont si profonds que j'y perds la mémoire. »
« La littérature est une affaire sérieuse pour un pays, elle est, au bout du compte, son visage. »
« Tes yeux sont mon Pérou ma Golconde mes Indes. »
« La lecture d'un roman jette sur la vie une lumière. »
« Le silence a le poids des larmes. »
« Il y a toujours un rêve qui veille. »
« La poésie est le miroir brouillé de notre société. Et chaque poète souffle sur ce miroir : son haleine différemment l'embue. »
« La première fois qu'Aurélien vit Bérénice, il la trouva franchement laide. Elle lui déplut, enfin. Il n'aima pas comment elle était habillée. »
« Le monde est rempli de faux témoins. »
« La lumière de la mémoire hésite devant les plaies. »
« Rien n'est jamais acquis à l'homme. »