« Celui qui se donne la mort est une victime qui rencontre son bourreau et le tue. »
« Le mépris vaut mieux que la pitié au malheur qu'on ne soulage pas. »
« On ne fait jamais le bien assez vite. Est-ce qu'il a le temps d'attendre ? »
« Quand un homme a honte de lui, il est impitoyable pour les autres. »
« Il est plus facile d'être bon pour tout le monde que pour quelqu'un. »
« Ce n'est pas ce que les femmes vous disent qui est intéressant, c'est ce qu'elles vous taisent. »
« Dieu ne se prend pas, il se reçoit. »
« Le bonheur est éphémère, il passe sans s'arrêter, il s'attarde parfois, l'espace d'une illusion, mais rares sont ceux qui savent le retenir, le garder. Il est si fragile, si vulnérable, il suffit de trois fois rien pour l'effrayer, le voir fuir à jamais. »
« La vie étant un éternel recommencement, seule l'acceptation de la défaite signifie la fin de tout. Tant et aussi longtemps que l'on sait recommencer, rien n'est totalement perdu. »
« La fausse modestie consiste à se mettre sur le même rang que les autres pour mieux montrer qu'on les dépasse. »
« Faire l'amour, en soi, ne libère pas les femmes. La question, c'est de savoir de quelle sexualité les femmes doivent se libérer pour la vivre bien. »
« La justice est l'amour guidé par la lumière. »
« On appelle "s'oublier" reprendre son naturel. »
« Ecrire : essayer méticuleusement de retenir quelque chose : arracher quelques bribes précises au vide qui se creuse, laisser, quelque part, un sillon, une trace, une marque ou quelques signes. »