« Le gouvernement est stationnaire, l'espèce humaine est progressive. Il faut que la puissance du gouvernement contrarie le moins qu'il est possible la marche de l'espèce humaine. »
« L'excès des impôts conduit à la subversion de la justice, à la détérioration de la morale, à la destruction de la liberté individuelle. »
« La guerre est comme la fièvre typhoïde ; il faut la fuir, mais si on l'attrape, il faut lutter. »
« La multiplicité des lois flatte dans les législateurs deux penchants naturels, le besoin d'agir et le plaisir de se croire nécessaires. »
« Je suis assez susceptible d'être effrayé par une chose inattendue qui agit sur mes nerfs. Mais dès que j'ai un quart d'heure de réflexion, je deviens, sur le danger, d'une indifférence complète. »
« L'on perd bientôt sa route à chercher trop de voies. »
« L'une des chaînes les plus lourdes à porter est celle des biens matériels. »
« Dormir ! Enfin c'est échapper à tout ce qui vous entoure. »
« L'art de l'acteur, c'est la création et sa réitération. »
« Les hommes sont de grands stratèges. »
« Les choses ne sont pas difficiles à faire, ce qui est difficile c'est de nous mettre en état de les faire. »
« Il est si simple de décider avec soi-même que les blessures d'amour-propre ne comptent pas. Elles ne font souffrir que si on le veut bien. »
« La guerre et le commerce ne sont que deux moyens différents d'arriver au même but : celui de posséder ce que l'on désire. »
« Les optimistes et les pessimistes ont un grand défaut qui leur est commun : ils ont peur de la vérité. »