« Le cheval du tyran, qui estoit courageux et fort, et d'avantage se sentoit broché des esperons d'une part et d'autre jusques au sang, se hazarda de vouloir franchir le fossé. »
« Ainsi nous ne vivons jamais, mais nous espérons de vivre ; et nous disposant toujours à être heureux, il est inévitable que nous ne le soyons jamais. »
« N'espérons plus, mon âme, aux promesses du monde, - Sa lumière est un verre, et sa faveur une onde - Que toujours quelque vent empêche de calmer; - Quittons ces vanités, lassons-nous de les suivre. »
« Si vous tendez les bras, vos amis les couperont. »
« Aucun cheval ne bouge sans quelques coups d'éperon. »
« L'humanité est à un croisement : un chemin mène au désespoir, l'autre à l'extinction totale. Espérons que nous aurons la sagesse de savoir choisir. »
« Chaque bibelot repose sur un napperon. Chaque fleur a son pot, chaque pot son cache-pot... Non seulement posséder, mais souligner deux fois, trois fois ce qu'on possède, c'est la hantise du pavillonnaire et du petit possédant. »
« Le bruit de ses éperons accompagnait les éclats de sa voix. »
« Jusqu'à la mort nous espérons toujours. »
« Les gens qui se font incinérer s'imaginent que, réduits en cendres, ils échapperont à Dieu. »
« Amour au cœur, éperon au flanc. »