« Une mère ne meurt jamais car on l'appelera toujours "maman". »
« Ne dois-je donc jamais entendre une de ces charmantes créatures m'appeler maman, me tirer par ma robe, me tyranniser ? »
« Le genre humain a toujours été en progrès et continuera toujours de l'être à l'avenir : ce qui ouvre une perspective à perte de vue dans le temps. »
« Il n'y a pas d'autre drame dans la vie d'un être que celui de l'instant, se répétant sans fin, de sa première perte de pureté... »
« Vouloir expliquer un poème est aussi vain que d'espérer découvrir le secret du temps en démontant une horloge. »
« Quand maman est fatiguée, pourquoi c'est moi qui doit aller se coucher ? »
« Il n'existe de plus grande douleur au monde que la perte de sa terre natale. »
« Rien ne vaut une douce maman. »
« Deux personnes ne lisent pas un poème de la même manière, elles l'interprètent de façon différente, de sorte que le lecteur fait lui-même son oeuvre de création. »
« La mort du présent n'est rien ; c'est la perte de l'avenir en soi qui est déchirante. »
« Poème : texte où chaque ligne commence par une majuscule. »
« Les ressources que nous offre l'oubli sont le remède le plus sûr à la douleur de la perte. »
« Les hommes oublient plus facilement la mort de leur père que la perte de leur patrimoine. »
« On revient de sa jeunesse comme d'un pays étranger. Le poème, le livre est la relation du voyage. »