« Combien de mois, combien de vies faut-il pour écrire une phrase qui égale en puissance la beauté des choses? »
« Une maman qui vous borde au lit laisse un parfum de sommeil. »
« A une maman on ne ment pas. Elle lit notre âme comme en elle-même. »
« Une maman, c'est celle qui gronde mais qui pardonne tout. »
« Que peut changer un mot ? Une phrase ? Une lettre ? On ne devrait pas écrire. Le décalage est trop grand entre le moment où on écrit une lettre et celui où elle est lue. »
« Dis maman quand on meurt, est-ce que c'est pour la vie ? »
« C'est dans les bras d'une maman que s'apprend la tendresse et c'est dans ceux d'un amant qu'elle se développe. »
« Ce n'est pas parce que l'on sort une grande phrase qu'on est un grand homme. »
« Eh bien, vois-tu, le taureau met son pénis dans l'organe de la femelle, quelques graines sont injectées et, peu après, un bébé vache commence à grandir dans le ventre de la maman. Et deux ans plus tard, le taureau lui versera une pension alimentaire. »
« On est toujours quelque chose comme serpent, arbre, bétail ou homme ou femme avant d'entrer dans le ventre de sa maman. On appelle ça la vie avant la vie. »
« Au football, le règlement ne prévoit pas que la maman du centre-avant se précipite sur le terrain chaque fois que son fiston est bousculé. »
« Une maman est celle sur qui l'on compte pour les choses qui nous importent le plus. »
« A l'oreille de tous les enfants, "maman" est un mot magique. »
« Même quand les phrases ont l'apparence d'une citation, elles ne doivent à aucun moment faire oublier qu'elles s'appliquent à quelqu'un de particulier. »