« Comme le vent abat un chêne, une simple phrase détruit un rêve. »
« Petite pluie abat grand vent : longues beuvettes rompent le tonnoire. »
« Petite pluie abat grand vent. »
« Le sommeil n'est pas à nos ordres. C'est un poisson aveugle qui monte des profondeurs, un oiseau qui s'abat sur nous. »
« Là où loge le souci, le sommeil ne s'abat jamais. »
« Le chagrin dans le cœur de l'homme l'abat, mais une bonne parole le réjouit. »
« Ah! la volupté d'abattre du travail comme on abat des arbres, de s'attaquer à une montagne de papier comme on escalade le mont Blanc pour donner, peu à peu, au bureau - par traitement ou par élimination - l'aspect du Sahara. »
« La culture est un truc qui rassemble les gens, qui abat les différences. »
« Oh! quel farouche bruit font dans le crépuscule - Les chênes qu'on abat pour le bûcher d'Hercule! - Les chevaux de la Mort se mettent à hennir - Et sont joyeux car l'âge éclatant va finir... »
« La tendresse est l'abat-jour de la passion. »
« La plus petite mortification abat votre corps. »
« C'est avec les roseaux pensants qu'on fait les chaînes qu'on abat. »
« L'homme vertueux doit imiter l'arbre de santal qui, lorsqu'on abat, parfume la hache qui le frappe. »
« Economie dirigée: le gouvernement vous prend vos vaches, en abat une, fait traire l'autre... Et jette le lait. »