« Si je disposais de six heures pour abattre un arbre, je consacrerais les quatre premières heures à aiguiser ma hache. »
« On imagine mal la somme de catastrophes que chacun peut supporter dans l'indifférence, pour peu qu'elles s'abattent sur autrui. »
« La cuisine c'est un art qui, pour ne pas s'abâtardir, a besoin de fantaisie. Je dirai même d'un petit grain de folie. »
« Quelle ombre, quel feuillage, quel fruit peut encore donner l'arbre abattu ? »
« Pourquoi ces abattements et ces désolations où vous tombez? »
« Les moutons ont quand même cet avantage sur l'homme qu'on les conduit à l'abattoir sans leur parler patriotisme ou promesse d'un monde meilleur. »
« On dit que les Corses sont paresseux ; c'est pas vrai... Ils sont vite abattus, c'est tout ! »
« La dévastation s'abattant sur la misère, le vautour s'acharnant sur le ver de terre. »
« Il n'est rien qui plus abatte le cœur d'un homme que de hanter ou trop aimer les femmes. »
« Ses malheurs n'avaient point abattu sa fierté. »
« Les grands abattements suivent les grands enthousiasmes. »
« La douce vapeur du sommeil ne coule pas plus doucement dans les yeux appesantis et dans tous les membres fatigués d'un homme abattu que les paroles flatteuses de la déesse s'insinuaient pour enchanter le cœur de Mentor. »
« Les bébés sont d'une affligeante banalité. Ils se bornent à pousser des cris incompréhensibles comme s'ils allaient à l'abattoir. »
« J'ai récolté des choux et cueilli des carottes de la terre et j'ai aussi visité des abattoirs ; ces expériences ne peuvent pas se comparer. »