« Réservant au peintre la tâche sévère et contrôlable de commencer les tableaux, attribuons au spectateur le rôle avantageux, commode et gentiment comique de les achever par sa méditation ou son rêve. »
« L'action est comme un instant qui durerait sans succession. »
« Grande est la mort, le sourire aux lèvres nous lui appartenons. »
« L'automne est une saison sage et de bon conseil. »
« L'homme est une marionnette consciente qui a l'illusion de la liberté. »
« Une fortune est plus à l'abri dans une tête que dans un sac. »
« ... Vivre une belle histoire et quand c'est une histoire d'amour, ça vous force à croire qu'il y a encore de l'espérance dans cette sale vie, ça fait aimer les enfants et le sol et la proue des barges et le travail. »
« On contient sa mort comme le fruit son noyau. »
« Le désir d'avoir une mort bien à soi devient de plus en plus rare... Jadis, l'on savait que l'on contenait sa mort comme le fruit son noyau. Et cette conscience vous donnait une singulière dignité, une silencieuse fierté. »
« L'indépendance, c'est comme un pont : avant, personne n'en veut, après, tout le monde le prend. »
« Mettre un frein à la femme, c'est mettre une limite à la mer. »
« Le caractère de la femme, sans exception, se meut sur deux pôles, qui sont l'amour et la vengeance. »
« Je crois à la nuit. »
« Si le temps passe et que tu t'aperçois que ton nom circule parmi les hommes, n'en fais pas plus de cas que de tout ce que tu trouves dans leur bouche. »