« Oh! la pensée! autre océan sans limites; c'est le déluge d'Ovide, une mer sans bornes, où la tempête est la vie et l'existence. »
« Et qu'est-ce que c'est qu'une révolution? un souffle d'air qui ride l'océan, s'en va et laisse la mer agitée. »
« Oh! oui, l'homme est un voyageur qui a soif; il demande de l'eau pour boire, on la lui refuse, et il meurt. »
« Ah! la faim! la faim! ce mot-là, ou plutôt cette chose-là, a fait les révolutions; elle en fera bien d'autres! »
« Qu'est-ce qu'un mot? rien; c'est comme la réalité, une durée. »
« Eh bien! oui, c'est cela, que l'habit aille à la taille de chacun: la misère aux peuples, le malheur aux rois. »