« Brouillards, montez! versez vos cendres monotones - Avec de longs haillons de brume dans les cieux - Que noiera le marais livide des automnes - Et bâtissez un grand plafond silencieux! »
« Je goûterai le fard pleuré par tes paupières, - Pour voir s'il sait donner au cœur que tu frappas - L'insensibilité de l'azur et des pierres. »
« Triste fleur qui croît seule et n'a pas d'autre émoi - Que son ombre dans l'eau vue avec atonie. »
« Car le Vice, rongeant ma native noblesse - M'a comme toi marqué de sa stérilité. »