« Le vrai progrès, c'est une tradition qui se prolonge. »
« La guerre est comme la fièvre typhoïde ; il faut la fuir, mais si on l'attrape, il faut lutter. »
« La multiplicité des lois flatte dans les législateurs deux penchants naturels, le besoin d'agir et le plaisir de se croire nécessaires. »
« Je suis assez susceptible d'être effrayé par une chose inattendue qui agit sur mes nerfs. Mais dès que j'ai un quart d'heure de réflexion, je deviens, sur le danger, d'une indifférence complète. »
« On confond trop volontiers la qualité du plaisir dramatique avec la difficulté qu'on éprouve à en jouir. »
« L'on perd bientôt sa route à chercher trop de voies. »
« L'une des chaînes les plus lourdes à porter est celle des biens matériels. »
« Un mot bienveillant, joyeux, encourageant, n'est pas un péché. Il peut aider l'esprit de l'homme à se tenir dans la joie devant la face de Dieu. »
« Dormir ! Enfin c'est échapper à tout ce qui vous entoure. »
« L'art et le métier ne sont pas deux choses séparées. Invention et génie ne peuvent se passer ni de savoir ni de méthode. »
« L'art de l'acteur, c'est la création et sa réitération. »
« La nécessité de la guerre nous force, en dépit de nous-mêmes, à faire mille maux, et faire non plus d'état de la vie des hommes que d'un poulet. »
« Les hommes sont de grands stratèges. »
« Les choses ne sont pas difficiles à faire, ce qui est difficile c'est de nous mettre en état de les faire. »