« La guerre, on le sait, fut pendant longtemps le plus sûr et le plus rapide véhicule de la civilisation. »
« Il ne faut pas trop se tartariser ! Le beau rôle est encore à ceux dont les armes civilisent. »
« On n'est pas responsable de ses pensées. On est coupable seulement de celles que l'on cultive. »
« Le chagrin aiguise les sens ; il semble que tout se grave mieux dans les regards, après que les pleurs ont lavé les traces fanées des souvenirs. »
« Les femmes n'interviennent jamais dans mes romans tout simplement parce qu'elles parleraient tout le temps et que les autres n'auraient plus rien à dire. »
« Il faut à l'amitié six mois de congé par an pour renouveler son répertoire. L'amour devrait en faire autant. »
« C'était un honorable praticien qui guérissait les malades de toutes les maladies, excepté de celle dont ils mouraient. »
« Si le Français est "tout yeux", l'Anglais est "tout oreilles". »
« Nous ne choisissons point. Notre destin choisit. Et la sagesse est de nous montrer dignes de son choix, quel qu'il soit. »
« Toutes les déceptions de pensée et d'espérance, tout cela est secondaire. Le seul malheur irréparable, c'est la mort de ceux qu'on aime. »
« Il y a toujours un peu de vide dans les amitiés les plus pleines, comme dans les oeufs. »
« C'est le capital qui, au fond, mène l'église. »
« L'appât du gain n'a pas de limites. »
« Se laisser aller à l'imagination aide à perdre la notion du temps. »