« Enfants, vous êtes l'aube et mon âme est la »
« Enfant, vous êtes l'aube, et mon âme est la plaine - Qui des plus douces fleurs embaume son haleine - Quand vous la respirez; - Mon âme est la forêt dont les sombres ramures - S'emplissent pour vous seul de suaves murmures - Et des rayons dorés. »