« Personne ne sait encore si tout ne vit que pour mourir ou ne meurt que pour renaître. »
« Construire, c'est collaborer avec la terre : c'est mettre une marque humaine sur un paysage qui en sera modifié à jamais. »
« La relation entre l'écrivain et ses personnages est difficile à décrire. C'est un peu la même qu'entre des parents et des enfants. »
« Les villes portent les stigmates des passages du temps, occasionnellement les promesses d'époques futures. »
« Quand on aime la vie, on aime le passé, parce que c'est le présent tel qu'il a survécu dans la mémoire humaine. »
« Tous nous serions transformés si nous avions le courage d'être ce que nous sommes. »
« Très peu d'hommes et de femmes existent par eux-mêmes, ont le courage de dire oui ou non par eux-mêmes. »
« Notre grande erreur est d'essayer d'obtenir de chacun en particulier les vertus qu'il n'a pas, et de négliger de cultiver celles qu'il possède. »
« La tendresse du père est presque toujours en conflit avec les intérêts du chef. »
« Il faut toujours un coup de folie pour bâtir un destin. »
« Presque tous méconnaissent également leur juste liberté et leur vraie servitude... Pour moi, j'ai cherché la liberté plus que la puissance, et la puissance seulement parce qu'en partie elle favorisait la liberté. »
« Il me déplait qu'une créature croie pouvoir escompter mon désir, le prévoir, mécaniquement s'adapter à ce qu'elle suppose mon choix. »
« Manier les mots, les soupeser, en explorer le sens, est une manière de faire l'amour... »
« Il y a une jouissance à savoir qu'on est pauvre, qu'on est seul et que personne ne songe à nous. Cela simplifie la vie. »