« Ainsi commence le fascisme. Il ne dit jamais son nom, il rampe, il flotte, quand il montre le bout de son nez, on dit : C'est lui ? Vous croyez ? Il ne faut rien exagérer ! Et puis un jour on le prend dans la gueule et il est trop tard pour l'expulser. »
« Aucune femme n'est pareille. Chacune a quelque chose d'unique et d'irremplaçable. »
« A quoi reconnaît-on que l'on est amoureux ? C'est très simple. On est amoureux quand on commence à agir contre son intérêt. »
« Dans la vie, quand une femme te dit : "J'ai rencontré des êtres exceptionnels", ça veut dire simplement, : "Je me suis tapé un tas de types !". »
« La réputation qu'on nous prête ne change rien à ce que nous sommes en réalité. Voilà pourquoi il faut mépriser les jugements plus ou moins faux que l'on porte sur nous. »
« Moi je t'aimais, toi tu étais amoureux, c'est pas la même chose. »
« L'adolescence ne laisse un bon souvenir qu'aux adultes ayant mauvaise mémoire. »
« Dans la vie, il n'y a pas de problèmes et d'obstacles ; il n'y a que des défis et des épreuves. »
« Un seul être suffit quand il faut tout donner. »
« Si tous les parents choisissaient les noms de leurs enfants avec soin, le monde en serait changé. Un nom, c'est la moitié de la personnalité. »
« Vous savez, l'amour et l'amitié, ça marche avec l'admiration. »
« L'amour ne se commande pas : n'aime point qui veut et le cœur ne se fixe pas toujours où il devrait. »
« Apprendre une autre langue, c'est comme le commencement d'une autre vie. »
« Les jambes des femmes sont des compas qui arpentent le globe terrestre en tout sens, lui donnant son équilibre et son harmonie. »