« Jalousie nous dévore. - Nous sommes son plat du jour. »
« Nous voulons qualités des fous - Que nos défauts dévorent, puis nous. »
« Soyez sobres, veillez. Votre partie adverse, le Diable, comme un lion rugissant, rôde, cherchant qui dévorer. »
« Je suis un poète, mais je ne veux pas être un poète pour d'autres. Je dévorerai mes propres poèmes et j'en vivrai. »
« Il faut dévorer la vie. »
« On voudrait parfois être cannibale, moins pour le plaisir de dévorer tel ou tel que pour celui de le vomir. »
« Nourrissez le loup pendant l'hiver, il vous dévorera au printemps. »
« S'aimer, c'est avoir faim ensemble et non pas se dévorer l'un l'autre. »
« Il y a des livres dont il faut seulement goûter, d'autres qu'il faut dévorer, d'autres enfin, mais en petit nombre, qu'il faut, pour ainsi dire, mâcher et digérer. »
« C'est comme un animal, l'âge. C'est un animal qui grandit, qui grandit, qui grandit encore et qui finit par vous dévorer tout vivant. »
« Il ne faut pas vouloir dévorer la vie. »
« Tu ne songes qu'à dévorer ton bonheur ; c'est pourquoi il t'échappe ; il ne tient pas à être dévoré par toi. »
« Il n'est pas nécessaire pour l'écrivain de dévorer un mouton entier pour être capable d'en dire le goût. Il lui suffit de manger une côtelette. »
« Chocolat ! Voilà bien un mot qui évoque des extases indescriptibles. Est-il un homme, une femme ou un enfant qui n'en a pas désiré, qui n'en a pas dévoré, et qui l'instant d'après, n'a pas rêvé d'en dévorer encore ? »