« Pour connaître la sensation du bonheur, il faut autant de temps que pour remonter sa montre. »
« Epargnons à la vertu le malheur de voir jamais la raison avoir recours aux vices. »
« Je ne bois jamais de champagne, je n'aime pas ça, ça coûte trop cher. »
« On dit communément des rois qu'ils ont le bras long ; je voudrais bien qu'on en pût dire autant de leurs oreilles. »
« A force de trop penser, parfois on a le sort qu'on mérite. La vie, ça se vit à chaque jour suivant sa peine... »
« L'infini fait autant de peur à notre vue qu'il plaît à notre âme. »
« Observez bien les hommes : vous trouverez en eux tous les vices, tous les talents et toutes les vertus. »
« Nous n'avons pas assez d'amour-propre pour dédaigner le mépris d'autrui. »
« Plus la vie est agréable et douce et enchanteresse, plus horrible est l'idée de la perdre. Et c'est ainsi que se corrompent les cultures et que viennent les décadences. »
« La jeunesse grandit dans un domaine qui n'est qu'à elle, où ni l'ardeur du ciel, ni la pluie, ni les vents ne viennent l'émouvoir. »
« Bien plus que la paresse, c'est la caresse qui est la mère de certains vices et de beaucoup de fils. »
« Nous finissons par haïr ce que nous craignons trop souvent. »
« Rien n'est trop difficile pour la jeunesse. »
« Ce qui fait qu'on goûte médiocrement les philosophes, c'est qu'ils ne nous parlent pas assez des choses que nous savons. »