« Le mort ni le prisonnier n'a plus ni ami ni parent. »
« C'est l'immatriculée conception. »
« Es-tu triste ? Cherche autour de toi un service à rendre, une peine à consoler... »
« Papa, j'ai été à la ferme, j'ai vu des cochons, ils faisaient le même bruit que toi quand tu dors. »
« Le temps, dans sa lutte contre l'homme, joue avec lui, et quand il s'ennuie, il le tue. »
« Le pain est le plus conventionnel et le plus frelaté des symboles de la nutrition : l'âme de l'homme n'est pas omnivore. »
« Il y a deux sortes d'hommes: ceux qui font l'histoire et ceux qui la subissent. »
« Le diable se cache dans les détails. »
« On ne sait jamais ce qu'il y a dans la tête d'un enfant en dehors de ce que nous y avons mis. »
« Il ne peut y avoir de totalité de la communication. Or la communication serait la vérité si elle était totale. »
« Votre main droite sait certainement ce que fait votre main gauche, mais elle ne le dit pas. Louons sa discrétion. »
« N'attends pas que les événements arrivent comme tu le souhaites. Décide de vouloir ce qui arrive... Et tu seras heureux. »
« Le métier de journaliste ressemble assez à celui de couturier : de fil en aiguille, plus on avance sur un sujet, plus il change d'allure. »
« Souviens-toi que tu es comme un acteur dans le rôle que l'auteur t'a confié : court, s'il est court ; long, s'il est long. Il dépend de toi de bien jouer ton rôle, mais non de le choisir. »