« Les faibles ne finissent jamais rien eux-mêmes, ils attendent toujours la fin. »
« Toujours et jamais, c'est aussi long l'un que l'autre. »
« Mes peintures ne correspondent jamais à ce que j'avais prévu, mais je ne suis jamais surpris. »
« On ne pleure pas un mort qui n'a pas laissé de richesses. »
« Chaque jour se répéter : "Je ne serai plus jamais aussi jeune qu'aujourd'hui". »
« Courtes lettres et longues amitiés, tel est ma devise. »
« Le Temps n'a d'autre fonction que de se consumer : il brûle sans laisser de cendres. »
« C'est terrible de se laisser prendre dans sa routine, on s'enlise, on se sent en sécurité. Et puis, tout à coup, on s'éveille, et il n'y a plus rien... »
« Le travail est si bien divisé que l'un travaille et que l'autre récolte. »
« A certains tarifs, on finit toujours par se laisser acheter. »
« Cette manière d'élever le journalisme à la hauteur d'un spectacle permet à ses promoteurs de laisser croire qu'ils ont du talent. »
« Il faut, en mourant, laisser des marques d'amitié à ses amis, le repentir à ses ennemis, et sa réputation entres les mains du public. »
« La devise de notre monde contemporain c'est "omnia illico" (tout, tout de suite). »
« Il est également absurde de vivre en perdant de vue le paramètre absolue de la mort que de laisser la pensée de la mort prochaine gâcher mon existence. »