« On se goinfre de progrès. En une minute, on peut appeler Bogota. D'abord, c'est faux. Ensuite on ne sait qui appeler ni quoi dire. »
« La nature apprend à l'homme à nager lorsqu'elle fait couler son bateau. »
« Le coup de pied au cul, c'est l'électrochoc du pauvre. »
« Accepte-toi toi-même d'abord, accepte tout ce que ton être comporte, ses richesses et ses pauvretés ; accepte d'agir tel que tu es : accepte ton lot. »
« La musique de jazz, c'est une insouciance accélérée. »
« NON ! Le Mal n'est pas au cœur de l'Amour ! C'est l'Amour qui est au cœur du Mal ! »
« Le jour où la joie des autres devient ta joie, le jour où leur souffrance devient ta souffrance, tu peux dire que tu les aimes. »
« Je ne suis le porte-drapeau de personne... - Ecrire est une entreprise tellement solitaire... »
« La musique de jazz, c'est l'insouciance accélérée. »
« La culture, c'est comme la confiture : moins on en a, plus on l'étale. »
« Celui qui est né pour un petit pain n'en aura jamais un gros. »
« L'argent est un bon serviteur, mais un mauvais maître. »
« ... La base idéale d'un riche Anglais poli: l'ennui. »
« Il n'y a qu'un vrai silence : celui de la mort. »