« La solitude exaspère tant de monde et le monde, le solitaire. »
« Un penseur n'est jamais plus grand que lorsqu'il découvre les limites de sa pensée. »
« Aucune femme n'est pareille. Chacune a quelque chose d'unique et d'irremplaçable. »
« A quoi reconnaît-on que l'on est amoureux ? C'est très simple. On est amoureux quand on commence à agir contre son intérêt. »
« Le bonheur est éphémère, il passe sans s'arrêter, il s'attarde parfois, l'espace d'une illusion, mais rares sont ceux qui savent le retenir, le garder. Il est si fragile, si vulnérable, il suffit de trois fois rien pour l'effrayer, le voir fuir à jamais. »
« A un moment donné, pour que quelque chose fonctionne de nouveau, il faut prendre le risque de tout perdre. »
« L'amour est un chien. Un chien dont on ne sait jamais ce qu'il a dans le tête. Tu peux le caresser. Il répond à tes caresses. Et puis, un jour, il te mord, tu ne sais pas pourquoi. »
« Si on avait la vie qu'on rêve, on rêverait de la vie qu'on a. »
« Entre ce qu'on cherche à exprimer, ce qu'on parvient à exprimer et ce que les gens comprennent, le mode de communication tient plus du téléphone arabe que de la photocopie. »
« Dans la vie, quand une femme te dit : "J'ai rencontré des êtres exceptionnels", ça veut dire simplement, : "Je me suis tapé un tas de types !". »
« On ne mesure jamais assez à quel point on a peu d'importance aux yeux des autres. »
« La vie étant un éternel recommencement, seule l'acceptation de la défaite signifie la fin de tout. Tant et aussi longtemps que l'on sait recommencer, rien n'est totalement perdu. »
« Moi je t'aimais, toi tu étais amoureux, c'est pas la même chose. »
« L'adolescence ne laisse un bon souvenir qu'aux adultes ayant mauvaise mémoire. »