« La nécessité de choisir une seule route, parmi celles qui se présentent à nous, nous prive de voir les pays auxquels les autres routes nous auraient conduits. »
« Après tout, la civilisation a pour but, non pas le progrès de la science et des machines, mais celui de l'homme. »
« Chaque fois qu'on observe un animal, on a l'impression qu'il y a là un être humain en train de se foutre de nous. »
« Pourquoi la règle qui est applicable à un homme ne le serait-elle pas également à tous les autres ? »
« Le bon sens du maraud quelquefois m'épouvante. - Molière, avec raison, consultait sa servante. »
« La mort est le prix que nous devons payer pour notre cerveau et notre personnalité. »
« Le plus intolérable serait un Dieu tel qu'on le souhaite. »
« L'esclave est un serviteur qui ne discute point et se soumet à tout sans murmure. Quelquefois il assassine son maître mais il ne lui résiste jamais. »
« On ne résiste à rien plus difficilement qu'à la tentation de pénétrer dans l'espace intérieur d'un être. »
« Après tout, c'est le développement de la personnalité humaine qui est le but suprême de la civilisation. »
« Souvent ceux qui sont capables de réfléchir deviennent malheureux. »
« La science de l'homme est devenue la plus nécessaire de toutes les sciences. »
« Il faut se dire que les malentendus sont féconds. Il ne faut pas les mépriser. »
« Qui n'a rien à penser recourt au dictionnaire. »