« Après tout, la civilisation a pour but, non pas le progrès de la science et des machines, mais celui de l'homme. »
« Le bon sens du maraud quelquefois m'épouvante. - Molière, avec raison, consultait sa servante. »
« La mort est le prix que nous devons payer pour notre cerveau et notre personnalité. »
« Après tout, c'est le développement de la personnalité humaine qui est le but suprême de la civilisation. »
« Souvent ceux qui sont capables de réfléchir deviennent malheureux. »
« Toujours à ses côtés, et pourtant solitaire. »
« La science de l'homme est devenue la plus nécessaire de toutes les sciences. »
« La justice humaine cause peut-être plus de maux qu'elle n'en compense, probablement plus qu'elle n'en prévient, certainement plus qu'elle n'en répare. »
« Les ongles et les cheveux sont donnés aux hommes pour leur fournir une occupation constante. »
« Le mal est sans espoir, aussi j'ai dû le taire, et celle qui l'a fait n'en a jamais rien su. »
« Quelque étrange que la chose puisse paraître, nous devons considérer comme vrai que quiconque demande reçoit, et qu'on ouvre à celui qui frappe. »
« Et c'est assez, pour le poète, d'être la mauvaise conscience de son temps. »
« Le cœur est une fine horlogerie dont le caprice nous mène infiniment loin, à condition qu'on sache lui témoigner la même délicatesse. »
« (Les femmes) - à tous propos, - Sans nul repos, - Sont demandantes.... - Mais ravissantes, - Rifflantes, - Puis tournant le dos. »