« Le plagiat est nécessaire. Le progrès l'implique. Il serre de près la phrase d'un auteur, se sert de ses expressions, efface une idée fausse, la remplace par l'idée juste. »
« Le travail est indispensable au bonheur de l'homme; il l'élève, il le console, et peu importe la nature du travail, pourvu qu'il profite à quelqu'un: faire ce qu'on peut, c'est faire ce qu'on doit. »
« L'amour vrai rend toujours meilleur, quelle que soit la femme qui l'inspire. »
« Le roman est un genre faux, parce qu'il décrit les passions pour elles-mêmes: la conclusion morale est absente. Décrire les passions n'est rien; il suffit de naître un peu chacal, un peu vautour, un peu panthère. »
« Quand nous nous marions, c'est pour trouver dans notre femme ce que nous avons inutilement demandé aux femmes des autres. »
« L'amour physique, cette énergique conclusion des plus chastes impressions de l'âme. »
« Je préfère le méchant à l'imbécile, parce que l'imbécile ne se repose jamais. »
« Je suis très fier d'avoir de l'estime d'un homme dont j'ai toujours entendu mon père dire le plus grand bien. »
« L'honnêteté est la plus grande de toutes les malices, parce que c'est la seule que les malins ne prévoient pas. »
« ... Beau comme le tremblement des mains dans l'alcoolisme... »
« Les lettres anonymes ont le grand avantage qu'on n'est pas forcé d'y répondre. »
« Nous nous attachons quelquefois plus à une femme par les infidélités que nous lui faisons que par la fidélité qu'elle nous garde. »
« Les trois points terminateurs me font hausser les épaules de pitié. A-t-on besoin de cela pour prouver que l'on est un homme d'esprit, c'est-à-dire un imbécile? Comme si la clarté ne valait pas le vague, à propos de points! »
« La vérité, la paix et l'harmonie, seuls principes qui peuvent conduire à la vertu ; et sans la vertu, plus d'amour entre les hommes. »