« L'amour est ce je ne sais quoi, qui vient de je ne sais où, et qui finit je ne sais comment. »
« La philosophie, ça vient avec l'âge. Quand on a vu des guerres, des naufrages, des supplices, alors on commence à philosopher. »
« L'intéressant, ce n'est pas de savoir d'où vient le monde, mais où il va. »
« Peut-être que les grands hommes, ça vient par vagues, un siècle sur deux ? »
« Des fois que le rêve et le besoin de rêver se confondent, que vient y faire la réalité ? »
« Ah ! la grande amour, ça vient, on ne sait pas quand, on ne sait pas comment, et qui mieux est, on ne sait pas pour qui. »
« Tout homme que la fortune seule a fait homme public devient presque toujours, avec un peu de temps, un particulier ridicule. L'on ne revient plus de cet état. »
« L'impulsion du seul appétit est esclavage, l'obéissance à la loi qu'on s'est prescrite est liberté. »
« La fortune sourit aux audacieux. »
« Le marchand de sable ne fait pas fortune dans le désert. »
« La faim est un droit pour tous ceux qui n'ont d'autre loi que l'appétit. »
« Je suis en train de peindre avec l'entrain d'un Marseillais mangeant la bouillabaisse, ce qui ne t'étonnera pas lorsqu'il s'agit de peindre de grands tournesols. »
« Si la pauvreté fait gémir l'homme, il bâille dans l'opulence. Quand la fortune nous exempte du travail, la nature nous accable du temps. »
« La fortune aide les courageux. »