« La notoriété, c'est comme de manger des cacahuètes : quand on commence, on ne peut plus s'arrêter. »
« Il y a une jouissance à savoir qu'on est pauvre, qu'on est seul et que personne ne songe à nous. Cela simplifie la vie. »
« On sait ce qu'est le monde des parieurs en Angleterre, monde plus intelligent, plus relevé que celui des joueurs. »
« Les femmes, il est impossible de savoir ce qu'elles pensent, ni de prévoir ce qu'elles dépensent. »
« Pour prouver que le temps ne peut avoir d'emprise sur elles, les femmes ont décidé que le mot vieillard n'aurait pas de féminin. »
« Quelqu'un dont la conduite est guidée par un désir de récompense n'est pas sincère ! On ne peut mener sa vie comme on gère une boutique. »
« J'ai compris que, même pauvre et nécessiteux aux regards du monde, on peut s'enrichir en Dieu et que ce trésor-là, nul ne peut vous l'enlever. »
« La guerre, on le sait, fut pendant longtemps le plus sûr et le plus rapide véhicule de la civilisation. »
« Chacun a son Amérique à soi, et puis des morceaux d'une Amérique imaginaire qu'on croit être là mais qu'on ne voit pas. »
« Qui sait endurer connaît la tranquillité. »
« Le travail, c'est ce qu'on ne peut pas s'arrêter de faire quand on a envie de s'arrêter de le faire. »
« N'oublions pas que les petites émotions sont les grands capitaines de nos vies et qu'à celles-là nous y obéissons sans le savoir. »
« Le vent des hauts-plateaux souffle où il veut : qui peut lui imposer une direction ? »
« La folie est salutaire pour cela, qu'on devient peut-être moins exclusif. »